Vie de famille
En automne les feuilles tombent des arbres…Zoé aussi !
Anniversaires
Les classiques : Halloween et Noël
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Conférences : des lieux qu’on vous conseille
VS, FR, VD, GE… on va partout !
A quand la France, le Québec ou la Belgique ?
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Les amis et les proches
Quand nous sommes en Suisse, nous restons liés au voyage et c’est important pour nous et notre moral. D’une manière ou d’une autre. Déplacements, rencontres, bivouacs, souvenirs ou nouveaux projets, nous avons chaque jour l’occasion de parler voyage, penser voyage, vivre le voyage. Nous avons aussi la chance de compter sur des amis qui nous soutiennent et nous accompagnent lors de nos phases de transition. En voici quelques-uns.
Des Iles sédunoises aux Iles antillaises
Les Glen font partie de ces amis que nous revoyons régulièrement et avec plaisir. La dernière fois, c’était à Arbaz, en Valais. Sensés assister à notre conférence, ils ont préféré s’enfiler dans un bouchon sur l’autoroute et n’entendre que les dernières questions du public présent à notre conférence ! Qu’importe, nous avons passé un excellent moment avec eux et leurs amis, lors d’un bivouac sur les hauteurs de Sion. Le lendemain, Casita et les deux tortues 4x4 ont rejoint les Iles à Sion pour une journée au bord de l’eau. Des îles sédunoises en tortue 4x4 aux îles antillaises en compagnie des tortues marines, il ne restait que quelques mois à vivre.
Voyage : Martinique
Les premières impressions
Les routes
Plages et baignades
Le port du Marin
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Ateliers « Oser sa vie »
Atelier de parents « Oser sa famille »
Atelier « Oser ses rêves » : témoignages
Atelier spécial 15-20 ans
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Camping de Vidy
Nouvelle expérience
Vie sociale
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Clin d’œil
Festival des lumières à Lausanne
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Au sommaire
Passer des tortues 4x4 aux tortues marines, c’est ce que le dernier trimestre 2014 nous a permis d’accomplir. Découvrez dans les lignes qui suivent les étapes qui ont jalonné la préparation de notre périple actuel ainsi que les premières impressions de notre voyage dans les Caraïbes.
A suivre
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Edito
 
Du fantasme à la réalité
Il y a entre le rêve et la réalité, un certain temps. Rien de plus. Tel est le constat que nous faisons aujourd’hui, avec émerveillement.
Tandis que nous sommes sur le point d’embarquer en famille sur un voilier, Thierry se souvient de ses rêveries d’antan, du temps où naviguer n’était qu’un rêve qu’il n’imaginait pas concrétiser. Que s’est-il passé ? Comment la réalité a-t-elle rejoint le rêve ? La réponse est assez simple : un rêve en appelle un autre. Une fois un rêve concrétisé, tout devient possible. Notre attitude change. On ose rêver consciemment, on ose imaginer d’autres aventures, d’autres expériences et d’autres rêves. On sait aussi que tout se passe dans la tête. Nos pensées ont le pouvoir de tuer nos rêves les plus simples comme de concrétiser les plus fous.
Naviguer était un très vieux rêve de Thierry. Un rêve tellement lointain et inaccessible qu’il en était devenu un fantasme. La différence entre un rêve et un fantasme, c’est que le fantasme éveille en soi des émotions négatives quand on imagine le réaliser, tandis que le rêve fait vibrer le cœur de joie.
Dans chaque port autour du monde, Thierry évoquait pourtant son envie d’un jour voyager à la voile… Mais il terminait toujours sa phrase par « je sais pas si je m’en sens capable… » Dans la famille, l’idée ne rencontrait donc pas d’écho et l’idée s’en allait. Jusqu’à ce que Zoé demande, les yeux brillants, à voyager en bateau. Puis, c’est Loane qui a partagé un jour, son désir de tester dans sa vie, tous les modes de voyage possibles. Enfin Véro a émis l’idée à son tour, sans n’avoir aucune idée de ce que cela donnerait. Max quant à lui a montré de l’intérêt pour la navigation elle-même. Sam est d’office ouvert à toute nouvelle expérience, en particulier s’il peut se baigner toute la journée et vivre à pieds nus ! Alors Thierry a repris son vieux rêve et l’a regardé différemment. Après ce qu’on a déjà fait, pourquoi ne pas expérimenter autre chose ? Quelles sont nos craintes et comment gérer les risques ? « La navigation est une activité qui s’apprend ». Voilà ce qui est écrit sur la couverture du Code hauturier que Thierry a acheté en août. Voilà la phrase qui a fini de le convaincre que naviguer pouvait être un rêve à concrétiser. Parce que tout s’apprend quand on y a de l’intérêt.
Dans quelques jours ou semaines, nous serons à bord d’un voilier. Mais dans nos têtes, ça fait des mois qu’on a embarqués et que chacun travaille sur soi, ses craintes, ses envies, ses réjouissances et les stratégies adéquates pour faire de ce voyage une magnifique expérience. Si naviguer s’apprend, concrétiser ses rêves aussi. Il suffit de faire le premier pas et écouter son cœur, car c’est lui qui nous guide sur le chemin du fantasme à la réalité.
Automne 2014 : Suisse
A Paléo, Loane avait rencontré une autre Noémie. Entre parents, on parle d’un coup de foudre amical. Comme quoi, la vie nomade ou semi-nomade permet de belles rencontres et des liens forts, quel que soit l’âge. Pas besoin de passer des heures dans la même classe pour se sentir proche d’une amie à 16 ans. Loane le dit souvent, désormais elle le vit et c’est beau à voir !
Grandvaux
Cet automne, notre « pèlerinage » à Grandvaux (notre point de départ avant le nomadisme) se fait chez les Keist, qui nous ont invités en même temps que la famille Hostettler. Magnifique vue sur le Léman depuis la terrasse, très chouette ambiance et plein d’anecdotes de voyage et de vie partagées entre tous, à la table des parents comme à celle des juniors ! Un immense merci pour l’invitation !
Fête Balthasar
Pour nous, c’était presqu’une première… Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas participé à une fête de famille. Celle organisée cet automne par les parents de Thierry a permis aux cousins, oncles, neveux et nièces de se retrouver et découvrir les familles des uns et des autres éparpillées en Europe dans une ambiance décontractée et sympa. Un grand merci à tous.
Aless et Céline
Nos deux complices sont revenus d’Inde après plusieurs mois passés à prendre soin de singes orphelins ou blessés (www.celinetess.tk) Dès leur retour, nous les invitons à nous rejoindre dans un petit coin de forêt tout près de Lausanne, un lieu magique que nous avons découvert récemment et baptisé la forêt des Elfes, en raison de l’atmosphère féérique qui s’en dégage. Avec nos amis, nous discutons voyage évidemment et parlons de nos projets en cours et à venir. Pour la première fois depuis que nous le connaissons, Aless travaille pendant son séjour en Suisse. Durée de son contrat : 3 mois. Assez pour remplir la caisse et le conforter dans ses choix de vie. Quand on a la chance de vivre libre, y a pas de raison de changer !
En ce moment, lui est au Sri Lanka et elle au Laos. Leurs chemins se séparent. Ainsi va la vie.
Camping de Vidy
 
Nouvelle expérience
Cela faisait des années qu’on se posait la question. On hésitait, on se renseignait, sans jamais franchir le pas. Cette fois-ci, on y est allés ! Casita et Baloo ont posé leurs roues dans le camping de Vidy à Lausanne, du 15 octobre au 15 décembre. L’expérience est concluante. Situé au bord du lac, le camping offre un cadre de vie magnifique, propice à la pratique du sport et des jeux en plein air ! Nous en avons pleinement profité, retrouvant dans le rythme sédentaire un certain confort pour le maintien de notre condition physique et morale. Yoga et méditation les pieds dans l’eau au lever et coucher du soleil, nordic-walking et parcours vita sur les chemins et dans les bois qui bordent le lac, telles sont les principales activités que nous avons pratiquées en début et fin de journée. Avec les transports publics à deux pas du camping pour rejoindre le centre-ville, un approvisionnement en eau et en électricité assuré d’office et les écureuils en voisins, nous avons traversé l’automne le cœur léger. Seul bémol : les souffleuses à feuilles mortes ! De quoi donner envie à Thierry d’organiser l’année prochaine un concours : les balais/râteaux contre la souffleuse à feuille. Une parcelle couverte de feuilles mortes. Un chrono. Un sonomètre. Une question : la souffleuse est-elle vraiment plus performante que les balais-râteaux ? Les paris sont ouverts ! Blague à part, la vie au camping de Vidy nous a convenu et peut-être renouvellerons-nous l’expérience, selon nos besoins. Un immense merci à Claude, le gérant des lieux, et tout le personnel pour la disponibilité et la qualité du service.
 
Vie sociale
Ce qu’on aime aussi dans ce camping, c’est découvrir un microcosme original. On s’y attendait et cela nous intéressait. Il y a évidemment quelques touristes, mais à cette période, ils sont peu nombreux. Il y a surtout les résidents. Parmi eux, certains sont arrivés là par libre-choix. D’autres, apparemment majoritaires, ont trouvé ici une solution de fortune pour faire face au creux d’une vague de la vie. Chez ceux-là, on trouve des personnes qui s’impatientent de retrouver un logement standard et ceux qui sont heureux de leur sort. Avec notre mode de vie et les choix que nous avons faits, nous pensions que tous auraient choisi de vivre là. Ce n’est pas le cas. Ou pas tout de suite. Dès notre arrivée, un voisin vient à notre rencontre et nous achète deux livres : un pour lui et un pour sa fille. Domicilié au camping depuis plus d’un an, il a le projet d’encaisser son fonds de prévoyance et de prendre la route. La veille de notre départ, il nous présente fièrement son acquisition : un Mercedes sprinter 4x4 magnifique et soigné. Si ça se trouve, l’homme ne sera plus là notre retour. Bonne route à toi… (le nom ?) Notre séjour au camping nous a offert un autre feed-back très touchant. Sharlène a 12 ans. Les aléas de la vie ont « forcé » ses parents à s’installer en caravane dans le camping depuis quelques semaines. Ils ne trouvent pas d’appartement en ville. Une situation difficile, surtout pour la mère qui l’exprime ouvertement. Le père lui, est déjà content d’avoir une solution. Très vite, la jeune fille trouve en Zoé une amie avec qui jouer. De notre côté, nous rencontrons les parents et comprenons que le fait d’être au camping suscite beaucoup de craintes chez eux, surtout pour leur fille. C’est le regard des autres qui les gêne. En apprenant que de notre côté, nous avons choisi ce mode de vie pour le confort et la liberté qu’elle offre, la mère de Sharlène découvre une autre réalité. Elle constate la mine épanouie de nos enfants et ça la rassure. Evidemment, nous ne sommes pas bloqués au camping. Mais eux non plus en fait. C’est ce qu’elle réalise progressivement. Son regard change et du coup sa situation lui semble plus confortable. Désormais, elle voit son passage au camping comme une opportunité, l’occasion de vivre avec moins de matériel et moins de dépenses, mais de vivre bien néanmoins. Cela lui ouvre des pistes et des perspectives, comme celle de réaliser son rêve en Equateur, dans son pays d’origine. Nous leur souhaitons tout le meilleur pour cette année 2015.
Navigation
 
Voici un tout nouveau thème sur sixenroute.com ! La navigation. Notre voyage nous menant désormais sur les mers, notre permis poids lourd ne suffit plus pour assurer nos déplacements. Cette fois, c’est Thierry qui s’atèle au permis. D’une part, c’est le seul à avoir une expérience de voile et surtout ça le passionne.
 
Expérience préalable
Adolescent, Thierry a fait de la voile sur un Laser, petit dériveur à une voile. Chaque été, il passait 15 journées consécutives sur la modeste embarcation, poussant la bête à fond sur les vagues, cherchant le surf et maniant la dérive avec habileté pour éviter les cordages des barques amarrées dans le port de Giglio. De retour en Suisse, il domptait la bise lausannoise quand elle daignait se lever. Avec quelques amis, il a régaté en dilettante sur le lac, plus à l’aise, en cas de coup de vent, pendu au trapèze qu’à réduire les voiles. Et dans sa chambre d’ado, des posters témoignaient de son goût pour la voile…
 
Permis mer : examen théorique
Quand nous avons décidé de partir dans les Antilles et de tester la voile, Thierry a sauté sur l’occasion pour se lancer un défi. Tant qu’à apprendre à naviguer, autant le faire vraiment ! Il se renseigne donc sur le permis mer et se rend compte que les cours de préparation aux épreuves théoriques s’étalent sur 5 à 6 samedis de septembre à novembre. Beaucoup trop, on n’a pas de temps pour cela. Il décide donc de renouer avec la bonne vieille méthode adoptée à l’uni, se débrouiller tout seul ! Quand il reçoit l’épais classeur de théorie à la maison, accompagné d’une règle de Cras, de 2 cartes marines et d’un compas dont il ignore tout du fonctionnement, le doute l’envahit. 10 secondes plus tard, il sourit. Au moins le programme est clair ! A la lecture des premières lignes et exercices imposés, c’est la surprise : il se réjouit d’apprendre tout cela. L’envie d’apprendre quelque chose de nouveau, l’envie de savoir faire, de comprendre et maîtriser le truc. Il se passionne pour la matière, y compris ses aspects rébarbatifs et nourrit des pensées positives chaque jour. Dès le mois d’octobre, les mouvements de Casita chahutée par les enfants deviennent pour lui un roulis de bateau ; ça le fait sourire au lieu de l’énerver. Mentalement, il entend le chant des haubans et s’imagine en mer, au port ou au mouillage. Les sensations physiques augmentent au fur et à mesure de ses lectures. Par moment, il ressent le mal de terre… A 15 jours des examens, il s’octroie un premier samedi d’examen blanc, qui lui permet de profiter des corrigés pour comprendre les erreurs commises. Enfin, la veille de l’examen, il reprend tout le matériel et s’installe à sa table pour un test en condition réelle, qu’il termine en appelant l’expert pour obtenir des explications sur les méthodes qu’il ne comprend pas. « C’est un peu le dernier moment constate l’expert ». « C’est le meilleur pour moi ! » répond Thierry. Le jour-J, Thierry se présente à l’examen totalement confiant et très heureux. Il se tient à l’écart de ceux qui redoublent évitant ainsi les commentaires pessimistes et négatifs. Avec une seule faute dans le QCM et une autre sur les travaux de cartes, il réussit brillamment l’épreuve.
 
Permis mer : la pratique
L’obtention du permis mer en Suisse nécessite plusieurs éléments qu’on peut obtenir dans l’ordre qu’on veut : - un permis voile cantonal (sur lac) - 1000 miles nautiques de pratique supervisée par un skipper reconnu - l’examen théorique - un certificat samaritain à jour - attestation médicale Avec son examen théorique mer en poche, Thierry n’est pas pour autant remonté concrètement sur un voilier depuis 25 ans… Le 3 novembre il prend donc contact avec l’école de voile d’Ouchy pour passer son permis voile lac (à 20 ans, il avait passé le permis moteur, ce qui le dispense de la théorie cette fois !). Entre le 5 novembre et le 5 décembre, il y a eu 3 jours avec 2-3 heures de vent. Les 3 fois, Thierry était sur le lac, le sourire d’une oreille à l’autre… Il retrouve aussitôt ses sensations et ses réflexes… La 3ème fois, c’était lors de l’examen pratique ! Ca, c’est fait !
Voyage : Martinique
 
De retour d’Afrique au mois de mai passé, nous avions aussitôt réfléchi à notre prochain voyage. Très vite les enfants avaient posé leurs conditions : on part volontiers avec vous, mais on veut un truc moins dur que l’Afrique dans Baloo. Pas de Malaria, thyphoïde ou d’hépatite A… Genre, les Caraïbes, au soleil tranquille ! OK. Et si on le faisait en bateau ? Depuis, les discussions ont été nourries, les sites internet épluchés, nos rêves affirmés. Cette année, le programme de notre voyage se présente ainsi : du 15 décembre au 15 mai, dans les Caraïbes, avec comme point de départ la Martinique et comme moyen de transport un voilier. Ca, c’est le principe. Bienvenue à bord ! Enfin, pour le moment, on n’est pas encore à bord, mais bienvenue en Martinique.
Les premières impressions
Dès les tous premiers contacts, nous sommes frappés par la gentillesse des martiniquais. Ils sont souriants, disponibles et aimables. Tous. En tout cas, tous ceux qu’on rencontre. Chaque fois. C’est impressionnant et tellement plaisant ! Supermarché, taxi, boutique, on prend souvent le temps d’échanger quelques mots ou discuter longuement et toujours avec bonne humeur. D’ailleurs, le test international élaboré par Véro pour évaluer l’ouverture des gens est formel. Quand elle part marcher avec ses bâtons, elle regarde les personnes qu’elle croise dans les yeux et leur dit bonjour. Eh bien, ici, c’est 100% de réponse avec le sourire.
 
L’île est très sauvage et préservée. Ok, Fort de France est embouteillée. Mais c’est pas très grand, on est vite à l’extérieur. Au sud de l’île se trouvent les lieux plus touristiques. Les constructions restent de taille modeste et rares sont les grands hôtels. Les plages sont jolies et même si elles peuvent être très fréquentées les jours fériés, elles restent accessibles et confortables. Pas de parasol, ni chaises longues. Les maisons colorées aux toits de tôle (qu’on ôte en cas de cyclone) sont regroupées et préservent le paysage dont la verdure et la végétation restent les principaux éléments. Au centre de l’île et sur la côte est, on trouve les grandes plantations de bananes et de canne à sucre essentiellement.
Au nord, c’est la jungle ! Des forêts denses et impressionnantes aux arbres entremêlés et feuillages luxuriants. La côte prend la forme de falaises dont les parois sont couvertes de végétation. C’est extraordinaire de voir la forêt plonger à pic dans l’océan ! Quant au climat, il est parfait ! Température extérieure entre 28 et 32°C, toujours de l’air qui souffle, l’eau à 27°C, quelques averses qui sentent bon et des soirées douces et agréables sur la terrasse. Vraiment, c’est idéal !
La maison
La plage à 150 m de la maison
Les routes
Prendre la route en Martinique, c’est s’offrir un tour en manège gratuit. La route suit les reliefs, dans tous les sens. Ca plonge et ça grimpe raide, c’est sinueux comme le plus souple des serpents. On s’amuse comme des gamins ! Allez, la prochaine fois les bras en l’air… wouuuuuuh ! Il faut dire aussi que nous avons opté pour une voiture de location extraordinaire ! Il s’agit d’une Opel Corsa monospace 4x4. Un modèle unique, mieux connu sur le marché sous le nom d’Opel Corsa 1100cm3, 2 portes. Il n’y a qu’un espace tout petit et quand ça grimpe trop on a parfois envie de faire sortir les 4 enfants pour pousser. A 6 dedans avec les bagages, c’est carrément sport ! Et sur les dos d’âne…
 
Plages et baignades
La maison que nous louons le temps de trouver un bateau se trouve aux Anses d’Arlet, à la petite Anse pour être exact. A 150m de la plage. Parfait. Les plages sont propres, plutôt calmes et faciles d’accès. A l’Anse d’Arlet, on trouve une patate de corail à 100 m de la plage avec poissons perroquets, poissons boîtes, poisson scorpions, serpent de mer et des centaines d’autres qu’on est incapables de nommer.
 
L’Anse Dufour et l’Anse noire permettent d’observer les tortues vertes. Certaines petites viennent jusque sur la plage, les plus grosses restent à 150 mètres. Très facile de les suivre et de les voir remonter devant notre nez pour respirer. Nous sommes toujours frappés de voir combien les gens ont besoin de toucher ou attraper les tortues. Par moment, l’envie nous vient d’enlacer les nageurs comme ils enlacent les tortues et leur demander s’ils trouvent ça agréable et malin.
Une petite recherche internet nous confirme que les tortues sont protégées partout dans le monde et qu’une amende de 9000 euros sanctionne ceux qui tentent de les capturer. Il ne reste plus qu’à appliquer les sanctions…
Anse Dufour
Page des Salines
Anse Noire
Le port du Marin
Dès notre arrivée, nous avons mis le cap sur le port du Marin, LE port francophone des Caraïbes. Avec ses 9 pontons et son mouillage forain où mouillent toutes sortes de bateaux, on trouve de tout et de rien : des épaves coulées, des épaves flottantes, des épaves en vente… Mais aussi, des dizaines de bateaux bien entretenus et d’innombrables catamarans plus ou moins gigantesques. Les prix vont 10'000.- à 100 fois plus et ne sont pas toujours proportionnels à l’état du bateau. C’est en cale sèche qu’on visite notre premier voilier, un 12 mètres, trop… pas assez… à nos goûts, donc pas dans le budget ni dans le style de ce qu’on cherche. En fait, qu’est-ce qu’un joli bateau ? Voilà la question qui ne fait pas encore l’unanimité dans la famille. Sauf bien sûr quand on parle d’une goélette de 16 mètres, en bois massif, avec deux mâts, de l’espace sur 2 étages, etc… Mais bon, ce n’est pas le projet actuel. Notre but est de trouver un voilier simple, sûr, ni trop grand ni trop petit (sur ce point, le fait de vivre à 6 dans Casita nous offre un avantage considérable : l’expérience !), pas cher et en état de naviguer tout de suite surtout. Pas de temps prévu pour nous lancer dans un chantier naval. Là-dessus on est tous sur la même longueur d’onde. Reste à savoir si on loue ou on achète. Le truc, c’est qu’à la location sur 4 mois, on atteint aisément le prix d’un bateau à l’achat… Tout ça pour dire, qu’on a regardé différents concepts, histoire de progressivement nous faire une idée de ce qu’on veut. Et pour une fois, on ne se lance pas sur le premier coup de cœur, on prend le temps de réfléchir...
Port du Marin
Ca, c'est un joli bateau...
Le catamaran Wharram de Pilou et Adeline nous a beaucoup séduits par son style et son originalité. Sorte de cabane de Robinson flottante, le Wharram ressemble à un radeau en bois assemblé par des cordages. A naviguer, parce qu’on a eu la chance de le tester avec ses propriétaires, il marche comme un catamaran à la différence qu’il ne se renverse jamais, parce qu’il plie dans tous les sens aussitôt qu’il lève une patte. L’idée du salon-chambre à coucher sous tente est géniale, mais les coques restent relativement étroites pour 6 et Thierry préfèrerait en rester au monocoque dans un premier temps. Ca le rassure. Même si Véro a priori préfère le cata qui reste bien plat… en théorie !
Les visites des autres bateaux nous ont permis de comprendre plusieurs choses. La moitié des ports sont à vendre… ou potentiellement à vendre si on retrouve les propriétaires… Mais souvent, le prix du bateau ne tient pas compte de sa vétusté. Pas très encourageant. Il y a aussi les bateaux à vendre, mais dont le capitaine n’est pas vendeur, parce qu’il est encore lié à son bateau, aux histoires qu’il transporte dans ses cales. Impossible pour nous de nous projeter sur un tel voilier. En ce qui concerne les constructions, il y a les ferro-ciment, des bateaux en béton. On n’avait déjà pas construit notre maison en béton, comment imaginer naviguer là-dessus ? Les bateaux en acier prennent de belles couleurs ambrées avec les années, mais y a intérêt à revoir nos vaccins anti-tétanos avant de grimper à bord de certains. Viennent ensuite les voiliers type avec leur cabine « dans la cave » comme dit Véro… Et ceux sur lesquels on ne peut pas marcher… En bref, y a de tout !
 
Nous avons également approché quelques propriétaires de bateau en vente et hors budget pour nous, en leur proposant de louer leur bateau pour 4 mois. Rares sont ceux qui ont été intéressés.
On a eu un coup de cœur momentané pour « La fille du Roi », un beau 12 mètres, bi-quille, avec un large cockpit et une cabine open-space… Finalement, le vendeur préfère ne pas le louer non plus. Actuellement nous avons flashé sur un bateau qui convient à tout le monde. Parce que chacun d’entre nous a ses critères en plus : il faut de la place dedans et sur le pont, pour l’école et pour dormir, pour naviguer et se baigner, une jupe, suffisamment aéré, confortable pour cuisiner…
Conférences : des lieux qu’on vous conseille
 
VS, FR, VD, GE… on va partout ! Entre septembre et décembre, nous sommes allés dans tous les cantons. Et toutes sortes de lieu, dont certains qu’on vous conseille de découvrir. Ainsi, en Valais, c’est l’espace culturel d’Arbaz qui nous a reçus. Arbaz est un magnifique village au-dessus de Sion, ensoleillé toute l’année et duquel émane une énergie saine, paisible et harmonieuse. L’espace culturel propose un programme riche et varié (voir le programme) au dernier étage de l’ancienne école. La pièce rénovée offre un cadre rustique et chaleureux, propice aux rencontres, à la réflexion et aux rêves. Notre conférence a rempli la salle et offert un bel échange.
Dans le canton de Fribourg, avant de retrouver le CO d’Avry où nous avions passé l’année passée et qui nous a demandé de revenir, nous avons participé à notre premier festival de voyage. Carnets de voyages est un festival organisé à Marly chaque deux ans, très agréable, en libre accès, avec un magnifique accueil des organisateurs et du public et pleins de choses à découvrir sur des voyages solidaires et humanitaires, qu’on peut soutenir de nos dons. A visiter !
 
Dans le canton de Vaud, c’est la bibliothèque de Renens qui nous a ouvert ses portes, pour offrir à ses lecteurs et futurs membres une occasion de découvrir à la fois notre voyage et les prestations d’une bibliothèque municipale moderne et dynamique. Très belle soirée et merci à toute l’équipe de la bibliothèque.
La bibliothèque étant située dans le complexe scolaire du Léman, nous profitons de notre présence pour organiser une conférence réservée aux élèves du collège. Il y a de l’agitation autour de Casita, les jeunes se bousculent et se pressent pour voir à l’intérieur. S’il n’y avait pas à portée de vue les enseignes helvétiques, on pourrait facilement s’imaginer loin de là, où les foules se pressent de façon similaire à notre arrivée. Même Casita semble avoir retrouvé les sensations du voyage : elle nous fait le coup de la panne (mauvais contact sur la batterie) !
 
A Genève, nous avons vécu une première expérience, en donnant notre conférence dans un EMS, établissement médico-social pour personnes âgées. Si pendant la conférence, certains pensionnaires perdent parfois le fil, les questions et l’échange qui suit la conférence est riche et intéressant. Notre aventure active des souvenirs chez certains et stimule les réactions. Un très beau moment de générosité partagée qu’on renouvellera avec plaisir.
 
A quand la France, le Québec ou la Belgique ?
Depuis quelques temps, nous recevons de plus en plus de demandes et d’incitations à passer en France. Nous viendrons avec plaisir en 2015 proposer nos conférences ou ateliers là où quelque chose s’organisera. A distance, on peine à créer l’occasion nous-mêmes. Il suffit donc d’une salle, d’une vingtaine ou trentaine de personnes pour couvrir nos frais de déplacement et nous venons !! Dans nos cœurs et nos têtes, l’idée d’une « tournée » de conférences et ateliers au Québec ou en Belgique émerge fréquemment également… Avis aux intéressés ! Il paraît que les bibliothèques québécoises sont extraordinaires et très actives, c’est vrai ?
Ateliers « Oser sa vie »
 
Atelier de parents « Oser sa famille »
Nous avons expérimenté le « coaching parental » pour un couple motivé, passionné et très intéressé par notre approche. Leur feed-back est excellent et la formule des 21 jours d’accompagnement à distance leur a beaucoup plu. Avis aux amateurs ! C’est simple, ludique, efficace et pas cher ! Profitez de l’occasion pour tester de nouveaux trucs en famille ! Prochaine session les 30 mai et 20 juin 2015 : www.osersavie.org
 
Atelier « Oser ses rêves »
Très grand succès pour la première session d’Oser ses rêves. Avec un groupe de 11 magnifiques personnes venues de Suisse et de France, nous avons vécu une expérience à la hauteur de nos attentes et plus encore. Conçu sur le principe des 21 jours d’accompagnement à distance, l’atelier a permis à chacun d’avancer vers son rêve et surtout, surtout, d’oser se faire du bien au quotidien ! On a ri, on a pleuré, pleuré de rire aussi. Engagement total. Confiance absolue. Chacun s’est lancé tout entier dans l’aventure, ce qui nous a offert une troisième journée haute en créativité, surprises et émerveillements, au moment des présentations des rêves de chacun à l’issue du processus. MERCI. Réservez votre place dès maintenant, les premières personnes sont déjà inscrites à la session du 6, 7 et 27 juin 2015 : www.osersavie.org
 
Lisez quelques extraits de témoignages des participants en faisant dérouler le texte ci-dessous :
Ce que l’atelier a changé dans votre vie…
Je me sens tellement vivante en dedans que j’ai envie de le faire partager… Pour la 1ère fois depuis longtemps je réalise que je peux OSER et je crois que vous m’ avez donné des ailes ! Je vais suivre mon intuition, ma petite voix intérieure et me faire confiance…
 
Je ressens une joie profonde qui n'est pas prête de partir, je m'amuse beaucoup, profite de chaque instant, fais du bien autour de moi, m'émerveille devant ma femme et mes enfants... Et je commence à construire mon premier rêve !
 
Je laisse en confiance cette petite graine pousser…en remerciant encore le ciel de vous avoir connus.
 
Quand je fais un truc très bête mais pas grave, j'arrive à juste rire de moi, sans jugement, juste amusée... Je me reprends aussi souvent pour tourner mes phrases de façon positive, en éliminant les négations.
 
Je parviens bien à entendre les voix bienveillantes, à profiter des petits moments "magiques" du quotidien, les petites satisfactions qui encouragent, etc. ça fait du bien!
 
Cet atelier m'a donné une énergie incroyable et c'est difficile de la contenir dans les limites de mes habitudes. J’en veux encore plus! Même en ayant déjà beaucoup, je vis plus intensément et c'est déjà une partie de mon rêve qui se réalise. Je suis en route, je ne sais pas dans quelle direction, mais ça ne me tracasse pas du tout :-)
 
J'ai refusé, après mon stage, un travail contraignant. J’ai enfin trouvé une chambre ou gonfler ma bulle. J'ai déplié quatre chevalets et posé des plateaux dessus. J'ai allumé des spots comme pour une scène. J'ai défrisé mes pinceaux . J'ai abreuvé ma plume et lentement je dessine mes ailes… Battement après battement je me rapproche de moi, de tous et du voyage.
 
Lors du séminaire, vous m'avez donné des trucs et astuces utiles, cela me permet de voir le monde un peu différemment et vivre mieux le présent.
 
Ce que vous avez particulièrement aimé…
Que l’atelier garde bien cette dimension, que vous lui avez donnée, que réaliser son rêve veut dire tout simplement être plus soi-même.
 
Votre professionnalisme et votre écoute exceptionnelle, dans le respect de chacun…
 
Votre simplicité et votre enthousiasme communicatif…
 
L‘alliance de la théorie et des exercices ludiques…
 
L’excitation chaque soir à recevoir votre email pendant le suivi des 21 jours…
 
L’interaction des participants… A certains moments j’ai vu des visages s’illuminer littéralement de l’intérieur, transfigurés (…) Quelle émotion dites donc! Quelle belle expérience!
 
En venant vous voir, je pensais pouvoir identifier mes rêves et envies facilement et de là tracer une route claire qui y mène. Ce n'est pas tout à fait ce qui se passe, le changement est plutôt intérieur et j'en suis heureux ! Merci à vous d'avoir mis votre coeur et vos expériences dans ce séminaire, je suis heureux d'y participer!
 
Notre âme d’enfant se réveille à l'idée chaque jour de recevoir un nouvel email de Vero et Thierry et de découvrir notre nouvelle activité. Impatience, excitation, émerveillement, étonnement, appréhension se mêlent pour mon plus grand bonheur.
 
Cette expérience s’est révélée être assez profonde pour la plupart d’entre nous (…) dans le sens d’entrer en contact profondément avec la Vie en soi.
 
J'ai adoré vos exercices et j'adore recevoir vos emails journaliers! J'adore ce suivi de 21 jours votre approche.
 
Encore un mot ?
C'est trop bien votre programme! Je me sens comme un gamin à profiter à fond de l'instant présent et impatient chaque soir d'ouvrir le calendrier de l'Avant des rêves.
 
Je remercie chaque jour la vie de vous avoir mis sur mon chemin et me dis que la vie est un cadeau et qu'il faut la chérir, se chérir, se faire du bien... Et c’est ce que vous nous offrez pour ne pas qu'on se perde en route.  
 
Ma première pensée ce matin a été pour vous et un grand sourire s'est immédiatement installé. Que c'est bon d'ouvrir son cœur! Je me délecte de chacun de vos mails !!
 
Merci à tous les deux de prendre soin de nous chaque jour. J'ai une énergie d'enfer depuis 10 jours ! Merci pour tout ce que vous faites et qui vous êtes. C'est juste incroyable comme cet atelier m'a permis de changer ma perception. Je m'étais endormi je crois... Merci ! Merci ! Merci !
Atelier spécial 15-20 ans
Puisqu’on accompagne chacun à vivre son rêve, voici l’occasion pour nous d’en vivre un nouveau. Cela fait des années que Véro et Thierry veulent organiser quelque chose pour les ados et jeunes adultes. L’atelier Oser ses rêves spécial 15-20 ans existe désormais, avec une première session en automne 2015. Ca risque de se bousculer, réservez votre place dès maintenant : www.osersavie.org
Vie de famille
 
En automne les feuilles tombent des arbres… Zoé aussi ! Glissant d’une branche d’arbre sur laquelle elle se balançait avec Sam, Zoé chute de 3 mètres et se casse les deux poignets ! L’événement a lieu 3 heures seulement après notre installation dans le camping de Vidy… Non, ce n’est pas un signe ! Juste un accident ! Avec les deux bras dans la plâtre jusqu’au-dessus du coude pendant 6 semaines, Zoé a fait preuve d’une incroyable faculté d’adaptation, tout comme Véro qui a retrouvé un « bébé » qu’il faut nourrir, laver, changer, habiller, etc. Le reste de la famille a également mis la main à la pâte et aisément trouvé ses marques, malgré le handicap manifeste de Zoé ! Aujourd’hui, elle va bien, les poignets sont réparés.
Anniversaires
Cette année Max et Loane ont organisé une fête pour leurs anniversaires. D’habitude nous sommes loin de leurs amis en décembre et février, alors ils ont anticipé le truc et fêté leur 16 et 18 ans en bonne compagnie, entendez par là, sans frères et sœurs ni parents ! Le but de la fête était aussi d’élargir leur cercle d’amis et faire de nouvelles rencontres. Pour cela, ils ont invité 12 personnes qu’ils apprécient particulièrement et demandé à chacun d’inviter 2 personnes. Le concept a parfaitement fonctionné : la fête fut un succès et tout le monde en a profité et en profitera encore. Max et Loane ont pu faire de belles rencontres.
Sam a fêté ses 14 ans. Il est grand maintenant. Concrètement, il pousse comme une tige de bambou, il mue, s’énerve et s’affirme, y compris dans la mauvaise foi parfois et toujours avec un sens de l’humour qui nous désarçonne. Concrètement toujours, il a ressorti son train en bois et ses Kapla et a passé ses journées au camping à construire des tours et circuits de folie… Vive le début de l’adolescence ! Ah, sinon, il a décidé aussi de changer de lunettes. Qu’en pensez-vous ?
Les classiques : Halloween et Noël
Un jour peut-être nous n’aurons plus besoin de subir Halloween et ses horreurs. Pour l’instant, Zoé ne manquerait pour rien au monde l’occasion de se gaver de bonbons ! C’est Loane qui l’accompagne avec une amie. Cette année, Véro a réalisé une œuvre peu ragoûtante sur les joues des deux filles. Thierry a fourni le couteau ! C’est crade quand même !
Quant à Noël, c’est une nouvelle fois sous les tropiques qu’on a passé Noël en famille et en toute simplicité autour de notre sapin-livre !
Clin d’œil
 
Festival des lumières à Lausanne
La ville de Lausanne s’est parée de lumière au mois de novembre. Organisant la manifestation sur le principe du musée en plein air, la capitale olympique a offert quelques-unes de ses places et ruelles à divers artistes de la lumière. De quoi sublimer les banales décorations de Noël et métamorphoser la trop précoce tombée du jour en émerveillement poétique. De place en place, nous avons levé les yeux et immortalisé les tableaux parfois surréalistes offerts aux passants, notre préféré étant « le vol des anges » (nom inventé par nous-mêmes !!) à la place de la Palud !
A suivre…
Nous vous présenterons notre nouvelle maison flottante très bientôt ! D’ici là, nous vous souhaitons à tous une excellente année 2015 sur le chemin de vos rêves !
 
Bonne année 2015 à vous et suivez votre propre lumière !
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Grandvaux
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Du fantasme à la réalité
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Les copines de Loane
Cet été Loane a pris le train pour rejoindre sa copine Noémie dans le Var. Et cet automne, c’est Noémie qui nous a rejoints. Les deux filles ont pu squatter Baloo, s’y installer et bavarder parfois jusqu’au lever du soleil, sans déranger le reste de la famille… Un grand merci à Noémie (et à ses parents pour leur confiance), ce fut un plaisir collectif d’accueillir pareil rayon de soleil varois sur les côtes lémaniques et dans la famille Sixenroute.
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